Redbull vous fait découvrir le Maroc à travers un trip de riders !
Sebastien Abes, réalisateur français et fan de ride en tous genre a recruté une équipe de Skaters renommés et vous fait découvrir le Maroc à travers les yeux de riders. Redbull se fait porteur de ce message simple, mais plein de sens.
Un périple en 4 étapes pour découvrir le Maroc sous toutes ses coutures
Pour nous donner une vision du pays du point de vue d’un skater, Sébastien Abes a fait appel aux riders Nassim Lachhab, Ryan Lay, Jost Arens, Kris Vile et Klaus Bohms.
Pendant ce périple, les ambassadeurs Redbull vont pouvoir glisser à travers 4 villes emblématiques du Maroc et on commence dans cette vidéo par Rabat, une cité méditerranéenne du Nord du pays. Les riders vous font découvrir la ville avec des tricks originaux et propres à ce que Rabat propose comme spots, jusqu’ici encore trop peu ridés.
Le Maroc et sa culture
Ce film est certes un concentré de tricks incroyables, mais il véhicule aussi un message très important. Chaque ollie nous permet aussi de mettre en évidence le Maroc et ce qui compose son identité. L’architecture, l’environnement, les célèbres mosaïques, le souk et le street art qui fait son apparition aux carrefours du vieux Rabat… Tout ceci met en valeur le Maroc et la vie qui s’y déroule tous les jours, ainsi que l’ambiance unique de la ville. Les riders s’expriment sur la culture qu’ils découvrent et portent un vrai message de tolérance, bien connu dans le milieu des sports extrêmes.
Skater au Maroc, une discipline encore trop peu courante
Le réalisateur n’hésite pas non plus à filmer la rencontre parfois tourmentée des sportifs et de la population, peu habituée à voir un rider skater sur les bâtiments, les bancs ou simplement sur les routes de la ville. Les riders s’expriment également face à l’objectif et sont de vrais pédagogues auprès des habitants qui peuvent être, tour à tour, réticents, curieux, admiratifs ou qui s’échauffent face à une culture qu’ils sentent envahissante. Sébastien Abes met en avant des situations malheureusement encore trop courantes dans le milieu du skate et un discours de pédagogie trop peu relayé.